La Grande Guerre a mobilisé 73,8 millions de combattants, dont 7,6 millions furent faits prisonniers. Acteur presque totalement méconnu, le prisonnier s’efface devant le Poilu et son environnement immédiat, la tranchée, et se place à l’écart de la mémoire « recevable ». Cette étude appréhende la captivité dans sa globalité.